Super Dédé que ça roule et freine bien.
En toute honnêteté, je ne m'en cache pas, le lendemain j'étais totalement brisé comme si j'avais fait une spéléo de 5 heures...
Je ne me suis pas du tout mis dispo aux pompier le lendemain.
Je devais me tenir partout pour avancer dans la maison, le surlendemain ça allait un peu mieux mais tous ceux que je croisais me demandaient ce qu'il m'arrivait!
Il a bien fallu trois jours pour que tout rentre dans l'ordre.
Ca devient vraiment compliqué maintenant à chaque fois que je bosse accroupie, plié, à genoux... Ou bien debout (Fosse ou pont) mais bras en l'air et tête basculée en arrière...
Dans ce cas (bras en l'air) en quelque minutes les cervicales me rappellent à l'ordre.
Ce sont vraiment ces positions extrêmes qui me posent problème car je fais toujours de très nombreuses randos très "engagées" dans les gorges du Tarn et de la Jonte (Ou ailleurs), des via ferrata, du canyoning, de la "pseudo" escalade... Le tout sans soucis (enfin pour le moment hein)
Par contre les sorties spéléos je les sens aussi maintenant le soir même et le lendemain car il y a beaucoup de positions dans de tout petits volumes.
Je me régale davantage en descente en avens en rappel... Pas de positions de merde en descendant un aven ou un puits.
En aout je vais descendre dans l'Aven Armand par l'entrée naturelle (Par l'aven donc, pas par le funiculaire et son tunnel artificiel)
Un autre Aven au programme, celui de la Barelle (Toujours sur le causse Méjan) qui a l'avantage de posséder plusieurs puits en série jusqu'à plus de 120m sous terre, mais celui là n'est pas aménagé pour les touristes.
Bon sur le causse Méjan si j'en fais deux ou trois par an ma vie ne me suffira pas vu le nombre d'avens qu'il y a!
Greg.